Les fonds propres ne sont plus un frein
29.11.2021
Entre les taux d’intérêts bas et la location qui devient très chère, nombreux sont ceux qui souhaitent acquérir leur propre logement. Cependant, cette idée est vite abandonnée lorsque le montant de fonds propres à apporter est connu. Pourtant, il existe de nombreuses alternatives afin de rassembler cette somme.
Ces dernières années, les prix de l’immobilier ont considérablement augmenté et cela rend l’apport de fonds propres encore plus difficile. De plus, seulement une partie de ces fonds propres peut provenir du 2e pilier. De quoi en décourager plus d’un.
A Genève, deux partis politiques souhaitent faciliter l’accès à la propriété. L’idée serait que l’État finance jusqu’à 15% des fonds propres des acquéreurs immobiliers.
En attendant un changement, les futurs acheteurs choisissent d’autres solutions telles que les coopératives d’habitation ou le regroupement de fonds propres. De ce dernier cas de figure, ils vont acheter une maison qu’ils diviseront ensuite en plusieurs appartements.
Autres tendances, les plateformes de crowdfunding qui permettent de mettre en place un financement participatif (particulier, entreprise, etc.). D’autres font appel à des prêteurs privés pour finaliser leurs fonds propres.
Dans un article du magazine « Bilan », la société « Evahomes.ch » est prise comme exemple. Créée l’année dernière, son but est de faciliter l’accès à la propriété aux personnes disposant d’un revenu suffisant et cela sans devoir payer un montant supérieur à un loyer mensuel classique. Le reste des fonds propres est amené par des investisseurs suisses qualifiés, en échange d’un rendement de 3% à 7% par année selon le risque. Ainsi, les fonds propres sont constitués et les charges sont couvertes par ce « loyer mensuel ». Cette solution 100% digitale reste intéressante pour ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas recourir à un prêt.
Bien que toutes ces solutions alternatives soient là pour combler le manque de fonds propre, il ne faut pas oublier que les revenus doivent être suffisants afin de couvrir les charges relatives à l’achat.
Ces dernières années, les prix de l’immobilier ont considérablement augmenté et cela rend l’apport de fonds propres encore plus difficile. De plus, seulement une partie de ces fonds propres peut provenir du 2e pilier. De quoi en décourager plus d’un.
A Genève, deux partis politiques souhaitent faciliter l’accès à la propriété. L’idée serait que l’État finance jusqu’à 15% des fonds propres des acquéreurs immobiliers.
En attendant un changement, les futurs acheteurs choisissent d’autres solutions telles que les coopératives d’habitation ou le regroupement de fonds propres. De ce dernier cas de figure, ils vont acheter une maison qu’ils diviseront ensuite en plusieurs appartements.
Autres tendances, les plateformes de crowdfunding qui permettent de mettre en place un financement participatif (particulier, entreprise, etc.). D’autres font appel à des prêteurs privés pour finaliser leurs fonds propres.
Dans un article du magazine « Bilan », la société « Evahomes.ch » est prise comme exemple. Créée l’année dernière, son but est de faciliter l’accès à la propriété aux personnes disposant d’un revenu suffisant et cela sans devoir payer un montant supérieur à un loyer mensuel classique. Le reste des fonds propres est amené par des investisseurs suisses qualifiés, en échange d’un rendement de 3% à 7% par année selon le risque. Ainsi, les fonds propres sont constitués et les charges sont couvertes par ce « loyer mensuel ». Cette solution 100% digitale reste intéressante pour ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas recourir à un prêt.
Bien que toutes ces solutions alternatives soient là pour combler le manque de fonds propre, il ne faut pas oublier que les revenus doivent être suffisants afin de couvrir les charges relatives à l’achat.