La blockchain arrive dans le monde de l’immobilier
30.04.2019
La première transaction immobilière inscrite dans une blockchain a été réalisée le 1er mars dernier dans la Crypto Valley suisse à Zoug. Cet échange de tokens (jetons) est prometteur car cette nouvelle technologie semble s’imposer depuis peu comme étant la solution d’avenir pour faciliter les transactions dans le domaine immobilier.
Selon Ueli Maurer, conseiller fédéral : « La Suisse est en très bonne position pour bénéficier de la technologie de la blockchain. Grâce au récent rapport sorti sur la blockchain, nous allons encore pouvoir améliorer notre cadre juridique pour l'industrie. Ces changements règlementaires rendront la Suisse encore plus attrayante aux yeux de potentiels nouveaux acteurs… ». Il semblerait effectivement que la Suisse a de belles cartes à jouer d’autant plus qu’elle s’est montrée pionnière en la matière à plusieurs reprises.
La blockchain n’est donc plus seulement le dernier buzzword dans le monde des technologies ou encore une simple mode, elle a franchi le pas du monde des entreprises et pourrait bouleverser nos modes de fonctionnement actuels. Derrière ce terme un peu barbare de tokénisation d’actif immobilier, soit l’échange de biens numérisé sous forme de jetons, se cachent des mécanismes d’investissement collectif, proche du crowdfunding permettant d’exécuter automatiquement des registres de transactions, appelés « smart contracts », sans interventions d’un tiers.
On peut dès lors facilement imaginer les nombreux avantages que pourraient apporter la tokénisation dans la gestion immobilière. En effet, que ce soit les courtiers, les agents immobiliers ou encore les créanciers, toutes les personnes associées au jeu de la propriété pourraient en tirer profit. Pour aller dans ce sens, la Suisse est d’ores et déjà en train d’étudier la possibilité d’utiliser la blockchain pour remplacer le cadastre et d’autres registres fonciers.
Selon Ueli Maurer, conseiller fédéral : « La Suisse est en très bonne position pour bénéficier de la technologie de la blockchain. Grâce au récent rapport sorti sur la blockchain, nous allons encore pouvoir améliorer notre cadre juridique pour l'industrie. Ces changements règlementaires rendront la Suisse encore plus attrayante aux yeux de potentiels nouveaux acteurs… ». Il semblerait effectivement que la Suisse a de belles cartes à jouer d’autant plus qu’elle s’est montrée pionnière en la matière à plusieurs reprises.
La blockchain n’est donc plus seulement le dernier buzzword dans le monde des technologies ou encore une simple mode, elle a franchi le pas du monde des entreprises et pourrait bouleverser nos modes de fonctionnement actuels. Derrière ce terme un peu barbare de tokénisation d’actif immobilier, soit l’échange de biens numérisé sous forme de jetons, se cachent des mécanismes d’investissement collectif, proche du crowdfunding permettant d’exécuter automatiquement des registres de transactions, appelés « smart contracts », sans interventions d’un tiers.
On peut dès lors facilement imaginer les nombreux avantages que pourraient apporter la tokénisation dans la gestion immobilière. En effet, que ce soit les courtiers, les agents immobiliers ou encore les créanciers, toutes les personnes associées au jeu de la propriété pourraient en tirer profit. Pour aller dans ce sens, la Suisse est d’ores et déjà en train d’étudier la possibilité d’utiliser la blockchain pour remplacer le cadastre et d’autres registres fonciers.